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 Réjouissez-vous sans cesse dans le Seigneur !

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MensajeTema: Réjouissez-vous sans cesse dans le Seigneur !   Réjouissez-vous sans cesse dans le Seigneur ! EmptyVie Dic 21, 2007 11:29 am

Réjouissez-vous sans cesse dans le Seigneur ! Beno%eet%20XVI




Réjouissez-vous sans cesse dans le Seigneur !

Le Saint Père a insisté sur la joie de l'Avent, au cours de l'Angelus du 3ème dimanche de cette prériode qui nous prépare à Noël.


Chers frères et sœurs,

«Gaudete in Domino semper - Réjouissez-vous sans cesse dans le Seigneur (Ph 4, 4) ». C'est par ces paroles de saint Paul que s'ouvre la Messe du III Dimanche de l'Avent, qui est par conséquent appelé dimanche «gaudete».

L'apôtre exhorte les chrétiens à se réjouir parce que la venue du Seigneur, c'est-à-dire son retour glorieux, est certaine et ne tardera pas. L'Eglise fait sienne cette invitation, alors qu'elle se prépare à célébrer Noël et que son regard se dirige toujours davantage vers Bethléem. En effet, nous attendons avec une espérance sûre la deuxième venue du Christ, parce que nous avons connu la première.

Le mystère de Bethléem nous révèle le Dieu-avec-nous, le Dieu qui est proche de nous, pas uniquement au sens géographique et temporel. Il est proche de nous parce qu'il a en quelque sorte «épousé» notre humanité. Il a pris sur lui notre condition, en choisissant d'être comme nous en toutes choses, excepté le péché, pour nous faire devenir comme Lui. La joie chrétienne jaillit donc de cette certitude: Dieu est proche, il est avec moi, il est avec nous, dans la joie et dans la douleur, dans la santé et la maladie, comme un ami et un époux fidèle. Et cette joie demeure aussi dans l'épreuve, dans la souffrance même, et elle ne reste pas à la surface, mais au plus profond de la personne qui se confie à Dieu et met en Lui sa confiance.

Certains se demandent : « Cette joie est-elle encore possible aujourd'hui ? » La réponse est donnée par la vie d'hommes et de femmes de tout âge et condition sociale, heureux de consacrer leur existence aux autres !

La bienheureuse Mère Teresa de Calcutta n'a-t-elle pas été, à notre époque, un témoin inoubliable de la vraie joie évangélique ? Elle vivait chaque jour au contact de la misère, de la déchéance humaine, de la mort. Son âme a connu l'épreuve de la nuit obscure de la foi, et pourtant elle a donné à tous le sourire de Dieu. Nous lisons dans l'un de ses écrits: «Nous attendons avec impatience le paradis, où il y a Dieu, mais il est en notre pouvoir d'être au paradis dès ici-bas, et dès ce moment-ci. Etre heureux avec Dieu signifie: aimer comme lui, aider comme lui, donner comme lui, servir comme lui» (La joie du don, Paris, Seuil, 1975).

Oui, la joie entre dans le cœur de celui qui se met au service des petits et des pauvres. Dieu établit sa demeure chez celui qui aime ainsi, et son âme est dans la joie. Si, en revanche, on fait du bonheur une idole, on se trompe de chemin et il est vraiment difficile de trouver la joie dont parle Jésus. Telle est malheureusement la proposition des cultures qui mettent le bonheur individuel à la place de Dieu, une mentalité dont l'effet emblématique se trouve dans la recherche du plaisir à tout prix, dans la diffusion de l'usage des drogues comme fuite, comme refuge dans des paradis artificiels, qui se révèlent ensuite totalement illusoires.

Chers frères et sœurs, on peut aussi se tromper de chemin à Noël, confondre la vraie fête avec celle qui n'ouvre pas le cœur à la joie du Christ. Que la Vierge Marie aide tous les chrétiens, et les hommes à la recherche de Dieu, à parvenir jusqu'à Bethléem, pour rencontrer l'Enfant qui est né pour nous, pour le salut et le bonheur de tous les hommes.

A l'issue de l'Angelus

Je désire tout d'abord saluer les enfants et les adolescents de Rome, venus nombreux cette année aussi, malgré le froid, pour recevoir la bénédiction des «Petits Jésus» de leur crèche. Très chers enfants, c'est avec beaucoup d'affection que je vous souhaite un bon Noël, à vous et à vos familles. Et alors que je remercie le Centre des Patronages de Rome qui organise cette belle initiative, j'exhorte les prêtres, les parents et les catéchistes à collaborer avec enthousiasme à l'éducation chrétienne des enfants. Merci à vous tous et bon dimanche!

Je vous salue chers pèlerins de langue française, présents pour la prière de l'Angelus. En ce temps de l'Avent, puissiez-vous vous préparer à la venue du Sauveur avec la joie de ceux qui savent que l'espérance ne déçoit pas, priant de manière renouvelée pour la paix dans les parties du monde en conflit, afin que tous nos frères, notamment les enfants, puissent bénéficier du don de la paix, dont tous ont besoin. Avec ma Bénédiction apostolique.

Affirmer le mystère de la Nativité

Pour la dernière audience générale de l'année, le mercredi 19 décembre, tenue Salle Paul VI, le Pape a parlé de Noël. « Célébrer le prodige que représente la nativité du Fils unique de Dieu, né de la Vierge Marie à Bethléem, doit nous encourager à veiller et prier dans l'attente du Rédempteur qui viendra à la fin juger les vivants et les morts... Quant aux croyants, ils attendent le Juge, (...) la justice, face aux si nombreuses injustices de ce monde. Nous attendons la venue de celui qui rendra justice et prions pour qu'il entre en ce monde et y répande sa justice».

«En attendant cette justice — a ajouté Benoît XVI — vivons sous l’œil du Juge... Soyons juste dans notre vie afin de préparer ce monde à la venue du Fils, et préparons nos cœurs à accueillir le Seigneur qui vient». Puis il a rappelé que «celui qui est engendré dans l'éternité devient homme grâce à la Vierge Mère. Vrai fils de Dieu il est vrai fils de l'homme. Dans une société sécularisé ces concepts ne comptent plus beaucoup». On les ignore ou on les considère superflus car ils seraient imprésentables.

«On s'est par ailleurs fait une telle idée de la tolérance et du pluralisme que l'annonce de la vérité révélée serait une atteinte à la liberté de la personne. Or si on évacue la vérité l'homme devient un homme privé de signification. Il ne faut donc pas céder et laisser le monde embrasser un nouveau relativisme. Il faut réaffirmer avec force le mystère du salut exprimé par la Nativité du Christ, qui se manifeste au monde comme la lumière éclairant nos vies. En lui s'est révélée la voie portant à la pleine humanité de l'homme. Sinon, quel sens aurait Noël? Les chrétiens doivent re-proposer avec conviction cette vérité de la Nativité et témoigner devant tous de cette incroyable richesse offerte non pas seulement aux croyants». Puis Benoît XVI a souligné que le devoir d'évangéliser vient de cela, qu'il est communiquer la Bonne Nouvelle, ainsi que vient de le rappeler une Note de la Congrégation pour la doctrine de la foi, proposée à l'attention de chaque fidèle et de chaque communauté.

La prière de l'Eglise dans l'attente de Noël s'intensifie afin que «se réalisent les espérances de paix et de salut dont ce monde a tant besoin. «Demandons à Dieu — a ajouté le Saint-Père — que la force de l'amour remplace celle de la violence, que les affrontement cèdent à la réconciliation, la volonté de domination devienne désir de pardon, de justice et de paix. Les vœux que nous échangeons en cette période — a-t-il encore dit — doivent se répandre partout, à chaque niveau de la vie quotidienne... Puisse le message de solidarité et d'accueil de Noël contribuer à être plus sensibles à la pauvreté et à ses nouvelles formes en particulier, et plus sensibles au bien de tous auquel chacun est appelé».
http://www.opusdei.fr/art.php?p=25887
__________________
Ora et Labora
Seul le Christ me suffit, car nous faisons tous parti du corps mystique du Christ.
Ad Jesum per Mariam.
Le Saint Père a insisté sur la joie de l'Avent, au cours de l'Angelus du 3ème dimanche de cette prériode qui nous prépare à Noël.


Chers frères et sœurs,

«Gaudete in Domino semper - Réjouissez-vous sans cesse dans le Seigneur (Ph 4, 4) ». C'est par ces paroles de saint Paul que s'ouvre la Messe du III Dimanche de l'Avent, qui est par conséquent appelé dimanche «gaudete».

L'apôtre exhorte les chrétiens à se réjouir parce que la venue du Seigneur, c'est-à-dire son retour glorieux, est certaine et ne tardera pas. L'Eglise fait sienne cette invitation, alors qu'elle se prépare à célébrer Noël et que son regard se dirige toujours davantage vers Bethléem. En effet, nous attendons avec une espérance sûre la deuxième venue du Christ, parce que nous avons connu la première.

Le mystère de Bethléem nous révèle le Dieu-avec-nous, le Dieu qui est proche de nous, pas uniquement au sens géographique et temporel. Il est proche de nous parce qu'il a en quelque sorte «épousé» notre humanité. Il a pris sur lui notre condition, en choisissant d'être comme nous en toutes choses, excepté le péché, pour nous faire devenir comme Lui. La joie chrétienne jaillit donc de cette certitude: Dieu est proche, il est avec moi, il est avec nous, dans la joie et dans la douleur, dans la santé et la maladie, comme un ami et un époux fidèle. Et cette joie demeure aussi dans l'épreuve, dans la souffrance même, et elle ne reste pas à la surface, mais au plus profond de la personne qui se confie à Dieu et met en Lui sa confiance.

Certains se demandent : « Cette joie est-elle encore possible aujourd'hui ? » La réponse est donnée par la vie d'hommes et de femmes de tout âge et condition sociale, heureux de consacrer leur existence aux autres !

La bienheureuse Mère Teresa de Calcutta n'a-t-elle pas été, à notre époque, un témoin inoubliable de la vraie joie évangélique ? Elle vivait chaque jour au contact de la misère, de la déchéance humaine, de la mort. Son âme a connu l'épreuve de la nuit obscure de la foi, et pourtant elle a donné à tous le sourire de Dieu. Nous lisons dans l'un de ses écrits: «Nous attendons avec impatience le paradis, où il y a Dieu, mais il est en notre pouvoir d'être au paradis dès ici-bas, et dès ce moment-ci. Etre heureux avec Dieu signifie: aimer comme lui, aider comme lui, donner comme lui, servir comme lui» (La joie du don, Paris, Seuil, 1975).

Oui, la joie entre dans le cœur de celui qui se met au service des petits et des pauvres. Dieu établit sa demeure chez celui qui aime ainsi, et son âme est dans la joie. Si, en revanche, on fait du bonheur une idole, on se trompe de chemin et il est vraiment difficile de trouver la joie dont parle Jésus. Telle est malheureusement la proposition des cultures qui mettent le bonheur individuel à la place de Dieu, une mentalité dont l'effet emblématique se trouve dans la recherche du plaisir à tout prix, dans la diffusion de l'usage des drogues comme fuite, comme refuge dans des paradis artificiels, qui se révèlent ensuite totalement illusoires.

Chers frères et sœurs, on peut aussi se tromper de chemin à Noël, confondre la vraie fête avec celle qui n'ouvre pas le cœur à la joie du Christ. Que la Vierge Marie aide tous les chrétiens, et les hommes à la recherche de Dieu, à parvenir jusqu'à Bethléem, pour rencontrer l'Enfant qui est né pour nous, pour le salut et le bonheur de tous les hommes.

A l'issue de l'Angelus

Je désire tout d'abord saluer les enfants et les adolescents de Rome, venus nombreux cette année aussi, malgré le froid, pour recevoir la bénédiction des «Petits Jésus» de leur crèche. Très chers enfants, c'est avec beaucoup d'affection que je vous souhaite un bon Noël, à vous et à vos familles. Et alors que je remercie le Centre des Patronages de Rome qui organise cette belle initiative, j'exhorte les prêtres, les parents et les catéchistes à collaborer avec enthousiasme à l'éducation chrétienne des enfants. Merci à vous tous et bon dimanche!

Je vous salue chers pèlerins de langue française, présents pour la prière de l'Angelus. En ce temps de l'Avent, puissiez-vous vous préparer à la venue du Sauveur avec la joie de ceux qui savent que l'espérance ne déçoit pas, priant de manière renouvelée pour la paix dans les parties du monde en conflit, afin que tous nos frères, notamment les enfants, puissent bénéficier du don de la paix, dont tous ont besoin. Avec ma Bénédiction apostolique.

Affirmer le mystère de la Nativité

Pour la dernière audience générale de l'année, le mercredi 19 décembre, tenue Salle Paul VI, le Pape a parlé de Noël. « Célébrer le prodige que représente la nativité du Fils unique de Dieu, né de la Vierge Marie à Bethléem, doit nous encourager à veiller et prier dans l'attente du Rédempteur qui viendra à la fin juger les vivants et les morts... Quant aux croyants, ils attendent le Juge, (...) la justice, face aux si nombreuses injustices de ce monde. Nous attendons la venue de celui qui rendra justice et prions pour qu'il entre en ce monde et y répande sa justice».

«En attendant cette justice — a ajouté Benoît XVI — vivons sous l’œil du Juge... Soyons juste dans notre vie afin de préparer ce monde à la venue du Fils, et préparons nos cœurs à accueillir le Seigneur qui vient». Puis il a rappelé que «celui qui est engendré dans l'éternité devient homme grâce à la Vierge Mère. Vrai fils de Dieu il est vrai fils de l'homme. Dans une société sécularisé ces concepts ne comptent plus beaucoup». On les ignore ou on les considère superflus car ils seraient imprésentables.

«On s'est par ailleurs fait une telle idée de la tolérance et du pluralisme que l'annonce de la vérité révélée serait une atteinte à la liberté de la personne. Or si on évacue la vérité l'homme devient un homme privé de signification. Il ne faut donc pas céder et laisser le monde embrasser un nouveau relativisme. Il faut réaffirmer avec force le mystère du salut exprimé par la Nativité du Christ, qui se manifeste au monde comme la lumière éclairant nos vies. En lui s'est révélée la voie portant à la pleine humanité de l'homme. Sinon, quel sens aurait Noël? Les chrétiens doivent re-proposer avec conviction cette vérité de la Nativité et témoigner devant tous de cette incroyable richesse offerte non pas seulement aux croyants». Puis Benoît XVI a souligné que le devoir d'évangéliser vient de cela, qu'il est communiquer la Bonne Nouvelle, ainsi que vient de le rappeler une Note de la Congrégation pour la doctrine de la foi, proposée à l'attention de chaque fidèle et de chaque communauté.

La prière de l'Eglise dans l'attente de Noël s'intensifie afin que «se réalisent les espérances de paix et de salut dont ce monde a tant besoin. «Demandons à Dieu — a ajouté le Saint-Père — que la force de l'amour remplace celle de la violence, que les affrontement cèdent à la réconciliation, la volonté de domination devienne désir de pardon, de justice et de paix. Les vœux que nous échangeons en cette période — a-t-il encore dit — doivent se répandre partout, à chaque niveau de la vie quotidienne... Puisse le message de solidarité et d'accueil de Noël contribuer à être plus sensibles à la pauvreté et à ses nouvelles formes en particulier, et plus sensibles au bien de tous auquel chacun est appelé».
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