La paix.

Depuis quelques jours, la révolte ne m'a pas quittée.
Je trouvais injuste ce qui m'arrivait, j'étais dans une colère noire.
Comment moi qui me donnais tant, moi qui supportais tout sans jamais trop rouspéter, moi qui étais toujours prête à faire plaisir, MOI, MOI, MOI,.....
Inutile de vous faire un dessin sur mon état d'esprit.

J'avoue que maintenant je souris face à mon attitude.
Je n'étais pas fachée sur mes souçis, mais fachée que ce soit moi qui les aient.
Comme çi le fait d'aller à l'église, de donner un peu de mon temps, me donner le droit, d'être épargnée par la vie.
(parfois je me giflerais)

Non, on aime pas Dieu pour être épargnée, mais tous simplement parce que l'on veut l'aimer.

Voyez-vous dans cette histoire, je me suis rendue compte que je pensais beaucoup à MOI ( comment je vais faire, qu'est-ce que les autres vont dire,...) et très peu à mon entourage, à mes amis direct.
Comme çi leur souçis été moins important que les miens.
Sans parlé que durant les messes plutôt que de pensé à Dieu, je pensais à un moyen de résoudre MES problèmes.

Jusqu'à ce qu'un matin au réveil, je me dise que mon attitude était vraiment égoiste.
Je me suis donc forçée à sourire ( et le mot est faible), à mettre de coté mes souçis avec mes amis, mais aussi durant les prières.
Mes souçis sont toujours là et au fond de moi, je suis contente de les avoir ( je sais c fou comme attitude), parce que grace à eux, je me suis rapprochée de mon fils, j'aide plus mon mari, je fais attention à mes amis et je reprie avec sincérité.

J'ai retrouvé LA PAIX.

Tu traverse un moment difficile et très dur à surmonter renaitre.
Il est difficile de trouver la paix, de s'ouvrir aux autres après ce que vous venez de vivre.

Quand tu as envie appèle-moi, ...

Vois-tu pour le net j'ai un principe de base.
La vie réelle n'est pas évidente à vivre, nous vivons un drole de monde. Alors ce monde virtuel que nous pouvons façonner à notre guise, rendons-le beau, remplissons-le de gentilesse et d'amour fraternel.
Maintenant tu dis que j'ai un coeur simple ( je t'en remerçie, car c'est un combat quotidien contre moi que je menne).
Vois-tu je m'empeche de réfléchir et d'agir en adulte mais plutot comme un enfant qui demande l'autorisation paternelle. Je ne fonce plus, je me dis simplement comment est-ce que je devrais agir? Et quand cette question m'est difficille à résoudre, je me tourne vers une personne de confiance ( un prètre) non pas pour qu'il me donne la réponse mais pour qu'il m'aide à la découvrir, à rester en harmonie le plus souvent possible avec moi mais aussi avec notre Père.
Je ne dis pas que c'est la solution toute trouvée mais pour moi c'est MA solution.
Je prie pour que la vérité soit faite mais surtout pour que la paix rejoigne enfin ton coeur.

Passe une bonne semaine.